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25/05/03
A l’époque des années 1920, une question se
pose pour le développement des chemins de fer Français à
l’époque divisée en pleins de petites entreprises
indépendantes, tel que les sociétés du PO :Paris-Orléans ;
Etat :Paris-Le-Mans, Midi :le Sud ouest et le PLM Paris Lyon
Méditerranée :
Mieux vaut-il continuer sur la vapeur ou bien
changer complètement de système d’énergie ?
L’avantage de la vapeur était la possibilité
d’aller dans tel ou tel pays frontaliers de la France à partir
du moment où l’écart de voie est identique au Français. Mais
le problème majeur de la vapeur était la limitation en
vitesse, due au moteur vapeur relativement lent, coûteux et
limité ainsi qu’au système de bielle.
Le seul moyen d’augmenter la vitesse était donc d’agrandir le
diamètre des roues principales. Ce fût le cas pour les
dernières vapeurs ( 232 U1) qui avait un diamètre de roue
supérieure à 2 mètres, la machine faisait 3.5 mètres de
hauteur.
Contre l’avis de certains très grands
ingénieurs Français tels que André CHAPLON ( Ingénieur
Thermodynamicien reconnu dans le monde entier comme le
meilleur de sa génération) qui avait énormément contribué au
développement de la vapeur en France.
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